mardi 15 août 2017

Se laisse aller


Haaa une bonne soirée. Et cette fois-ci hors de mes murs.
Une soirée où on ne se pose pas de questions, on y va pour se détendre et passer un bon moment.

Une soirée où on retrouve un pote, on rigole, on s'amuse.
Une soirée où on se rend avec une personne à qui on a rien à prouver, montrer. On se connait et on va juste passer un moment de franche rigolade, de détente. Une soirée zéro stress.

C'est cool... c'est chouette... on s'amuse, on bouge, on rit. C'est un bonheur simple qui fait du bien. Mais il faut se laisser aller, prendre le risque de s'amuser et de s'emmerder. On ne peut pas tenter l'un sans l'autre. Ils sont liés. Et le "laisser aller" ouvre la voie vers l'amusement, le plaisir, le bonheur.

Le plaisir ressenti c'est l’exaltation de ce sentiment d'être bien avec soi même, de se sentir léger, en dehors des problèmes quotidiens. Une parenthèse temporelle qui s'ouvre pour vous et se refermera aussi facilement. Et cette partie du temps on la partage, directement ou non, avec tous ceux qui sont là. Vous profitez d'instants d'insouciance, de joies, de rires. Comme je l'ai dit le temps s'arrête, vous basculez dans une autre dimension.

Et quoi qu'on en pense, le retour à la réalité, à la vie "quotidienne", se fait sereinement. Et surtout, on ne revient pas de cette dimension les mains vides. Enfin, les mains, je dirais l'esprit car il s'est enivré de cette pause, de ce positif, de cette bonne humeur. Vous souriez, vous vous êtes amusé. Vous y repensez sans regret. Wouawww

Laissons-nous aller, profitons de ce qui se présente à nous, retirons-en le positif. Sur le papier c'est beau et c'est facile. En pratique, c'est pas aussi simple. Mais quand on y arrive, on progresse, on gagne en facilité pour recommencer.

Il est clair aussi que vu que cela c'est bien passé, c'est facile de tenir de tels propos ;)



Amis calmants

vendredi 28 juillet 2017

Le silence

Une déception du coeur, une déchirure amoureuse que je viens de vivre, que je ressens si durement, si profondément et qui me pousse à rédiger ce post sur le silence.

Allons d'abord quelques jours en arr... pardon ? oui oui, jours. Pourquoi ?  Ha ok, je vois. Comment est-il diable possible d'avoir une déception amoureuse après quelques jours, voir semaines à peine ? N'oubliez pas que le coeur a ses raisons que la raison ignore. Et dans ce cas, oui dans ce cas, cet adage s'applique parfaitement à ma situation.

La personne "impliquée" a opéré, sans le vouloir, une telle alchimie sur moi que je suis tombé bien malgré moi dans "je me suis emballé". Et franchement, elle en valait vraiment la peine. Donc oui, une déception de coeur peut vous prendre et vous faire mal même après une courte période. 

Donc, tout allait bien, merveilleusement bien. J'ai été d'une gentillesse remarquable, exemplaire, naturelle. On ne pouvait mieux faire. Même mon frère de tête m'a laissé en paix. 
Et puis il y a eu du silence... insidieux, mauvais, pervers qui se délecte des doutes et peurs de la personne qu'il emprisonne. Ce silence qu'elle m'a montré en lieu et place de ses interrogations et de son interprétation de ce que moi je ressentais.  Ce silence qui, tel un colosse non d'argile mais de pierres aussi dures que possible, m'a empêché de la rassurer, de calmer ses angoisses et d'éteindre ses doutes.

Et moi, trop gentil. Trop gentil car pourquoi l'embêter ? Pourquoi la forcer à me parler. On ne peut pas forcer quelqu'un comme elle. On doit la protéger. Je la protégeais ! Mais le silence face à la gentillesse. Cette dernière part d'office perdante.

Et de fait j'ai perdu, perdu alors que je ne me battais même pas. Les doutes n'ont pas été effacés, j'ai été interprété, jugé et condamné.
Ce silence qui mure la personne et la confronte à elle même, lui retirant toute objectivité. Je sais de quoi je parle car j'ai moi aussi abusé de ce silence. 
Ce silence qui, installé chez une seule personne, nous a laissé tous les deux avec nos pensées non partagées.
Ce silence qui s'est finalement brisé, son travail étant terminé, le jugement tombant, et la sentence immédiate , sans appel, qui s'en est suivi. Et le coeur, la tête, votre âme d'un coup se mettent à hurler. A hurler oui mais, à nouveau, tout en silence pour ne pas qu'on les entende.



Amis Calmants

dimanche 23 juillet 2017

Ça m'est tombé dessus

Quelle phrase magnifique, quel chant fantastique...  heu ... non je m'écarte là mais l'idée semble pourtant bien s'y accrocher.

Je me demande encore ce que cela signifie !
D'abord, est-ce que ça fait mal ? il semblerait que non. Est-ce là une remise en question des lois édictées par Newton ? Lui aussi a du dire "ça m'est tombé dessus", en parlant de cette pomme. Ouille alors. Ce qui tombe choit et ce qui choit choit par rupture d'équilibre sans autre choix.

Haaaa... nous y voilà donc! "Ça m'est tombé dessus" est donc le résultat d'une rupture d'équilibre. Ainsi d'autres théories de la physique s'imposent à nous. A moins que ... mais oui... c'est cela ! Une théorie physique d'attrait mutuel qui rompt un équilibre de distance entre deux personnes qui en temps ordinaire dans les conditions normales de température et de pression n'auraient pu rompre l'équilibre et prononcer, tel un eurêka, "Ça m'est tombé dessus".

Peut-on dès lors reproduire ces conditions de rupture ? Et il semble également qu'une réaction en chaîne se mette en place car la rupture de l'équilibre entraîne inévitablement d'autres ruptures. Et ce qui a chu entraîne d'autres choiments.
"Ça m'est tombé dessus" n'est donc qu'un tsunami qui par son caractère soudain emporte avec lui ceux qui l'ont reçu et ceux qui n'ont rien demandé. 
Mais parfois le choc est trop dur pour le cerveau et "ça m'est" devient "ça m'a". Et quand tu demandes "où", tu comprends que où "ça m'a" ne peut faire que des ravages.


Amis calmants

Parce qu'il faut un début

Bonjour,

Un début... parce que toute chose à un commencement. C'est la règle non ?
Mais un début à quoi ? 

A l'humour mauvais ? C'est vrai j'aurais pu écrire un dé "Bu", objet de jeu d'une marque inconnue qui, sur un jeu de mot, a elle aussi son début dans le business ?

Et début entraine aussi débutant. Probablement le terme le plus approrié en ces lieux.

Non, vraiment, un début à toute chose... mais le début ne marque-t-il pas aussi la fin ? La fin de ce qui précède mais aussi la fin de ce qui débute. Puisque toute chose à une fin. 
L'infini ? Laissons le pour l'au delà.
Pourquoi commencer et surtout par quoi commencer. Simplement : par le début et le début de toute conversation est.. bonjour (ou bonsoir, selon que la soirée ait débuté ou non), ce qui est bien le début de ce billet.




Amis calmants,



Se laisse aller

Haaa une bonne soirée. Et cette fois-ci hors de mes murs. Une soirée où on ne se pose pas de questions, on y va pour se détendre et passer u...